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JO de Paris : 32 ans après son père, cet Altiligérien va participer au relais de la flamme
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JO de Paris : 32 ans après son père, cet Altiligérien va participer au relais de la flamme

Un article rédigé par Cédric Bonnefoy - RCF Haute-Loire, le 19 mars 2024  -  Modifié le 19 mars 2024

Lionel Héritier travaille depuis 25 ans au sein du groupe La Poste. Il vient d’être sélectionné en interne pour porter la flamme olympique. Un clin d’œil de la vie. En 1992, son père Jean-Paul Héritier avait fortement participé à dessiner le parcours de celle des JO d’Albertville.

Lionel Héritier va porter la flamme des JO de Paris en juin prochain. ©RCF Haute-Loire Lionel Héritier va porter la flamme des JO de Paris en juin prochain. ©RCF Haute-Loire

Le groupe La Poste est supporter officiel des JO de Paris 2024. En clair, un des partenaires de l’événement. À ce titre, il vient d’organiser en interne une sélection pour porter la flamme olympique. À la fin, 140 salariés, 70 hommes et 70 femmes ont été retenus. Parmi eux : un Altiligérien, responsable de l’espace commercial au Puy-en-Velay, Lionel Héritier.

Lionel Héritier va porter la flamme des JO de Paris


Une surprise pour cet ancien handballeur et footballeur amateur. Mais surtout, « un joli clin d’œil de la vie » pour lui. Son père, Jean-Paul Héritier, salarié de La Poste lui aussi, a travaillé sur le parcours de la flamme des JO d’hiver d’Albertville en 1992. « Forcément, ça m’a donné envie de participer moi aussi », avoue Lionel Héritier.


Participer au relais de la flamme des JO de Paris est « une fierté, ce n’est pas quelque chose qui arrive tous les jours surtout en France ». En tout, ils sont 5 en Auvergne à avoir été sélectionnés pour porter la prestigieuse torche, symbole de l’olympisme.
 

Un parcours sur 200 mètres


Pour le moment, Lionel Héritier ne connaît pas les détails de sa participation. « Le lieu exact est secret pour le moment, je ne le sais pas ». Seule information à sa disposition : le jour et le nombre de mètres à parcourir avec la flamme. Il participera au relais entre Saint-Étienne et Chamonix le 22 juin prochain. Il devra la porter sur une distance de 200 mètres. « Je pense pouvoir y arriver », sourit-il.


Un moment unique à vivre, mais une petite pression tout de même. La flamme olympique ne doit jamais être éteinte. Pas le droit à l’erreur. Lionel Héritier reste néanmoins confiant, voulant « vivre un bon moment ». L’attente jusqu’au 22 juin risque d’être longue. La liste des Altiligériens qui auront le privilège de porter la flamme olympique des JO de Paris s’allonge. Elle n’est pas encore définitive.
 

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